Philippe Forest : J’ai été souvent au Japon. Ce qui m’a incité à réunir un nouvel ensemble de textes aujourd’hui, c’était cette volonté de dire ce qu’il en était du Japon d’après Fukushima. Je n’ai pas d’expérience directe de la chose, je n’ai donc pas d’autorité pour en parler, mais je dialogue depuis très longtemps avec des écrivains, des artistes japonais, qui ont des choses à dire là-dessus, que nous n’entendons pas toujours nécessairement. Je me suis proposé de faire le relais dans ce livre.
Jacques Roubaud : Mon intérêt pour le Japon est ancien et lié à la poésie médiévale japonaise. Pendant longtemps, je n’ai pas eu l’envie ni le courage d’aller au Japon, parce que je pensais que je serais effrayé par le bruit, la quantité de camions, de trains… J’y suis allé pour la première fois au début des années 1990, à presque soixante ans.
Philippe Forest : J’ai été souvent au Japon. Ce qui m’a incité à réunir un nouvel ensemble de textes aujourd’hui, c’était cette volonté de dire ce qu’il en était du Japon d’après Fukushima. Je n’ai pas d’expérience directe de la chose, je n’ai donc pas d’autorité pour en parler, mais je dialogue depuis très longtemps avec des écrivains, des artistes japonais, qui ont des choses à dire là-dessus, que nous n’entendons pas toujours nécessairement. Je me suis proposé de faire le relais dans ce livre.
Plage kassa
Jacques Roubaud : Mon intérêt pour le Japon est ancien et lié à la poésie médiévale japonaise. Pendant longtemps, je n’ai pas eu l’envie ni le courage d’aller au Japon, parce que je pensais que je serais effrayé par le bruit, la quantité de camions, de trains… J’y suis allé pour la première fois au début des années 1990, à presque soixante ans.
Le quartier peul
Noom
Philippe Forest : J’ai été souvent au Japon. Ce qui m’a incité à réunir un nouvel ensemble de textes aujourd’hui, c’était cette volonté de dire ce qu’il en était du Japon d’après Fukushima. Je n’ai pas d’expérience directe de la chose, je n’ai donc pas d’autorité pour en parler, mais je dialogue depuis très longtemps avec des écrivains, des artistes japonais, qui ont des choses à dire là-dessus, que nous n’entendons pas toujours nécessairement. Je me suis proposé de faire le relais dans ce livre.
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